Turenne Capital lance son offre ISF 2015

La société propose un Fip et un FCPI, qui accompagneront des projets de développement de sociétés à fort potentiel de croissance, ainsi qu’un mandat ISF.

Tout d’abord, le Fip Développement Export 2015 porte sur une thématique à fort potentiel de croissance. En tant qu’investisseur dans des PME exportatrices, Turenne Capital entend poursuivre ses levées de fonds afin d’accompagner des entreprises dynamiques résistantes aux crises. À ce titre, leur capacité à entreprendre sur le long terme est un gage de qualité et de performance. Investi à 90 % sur l’axe Paris-Lyon-Marseille par trois équipes régionales, le produit ouvre droit à une réduction d’ISF de 45 % du montant investi, plafonnée à 18 000 € par foyer fiscal.

Ensuite, le FCPI Top Gazelles 2015 investira quant à lui 100 % de son actif dans des entreprises françaises innovantes éligibles, principalement cotées sur Euronext (compartiment C), sur Alternext ou sur le marché libre. Ce support, d’une durée de 5 ans et demi (prorogeable 2 fois sur décision de la société de gestion pour une période d’un an), permet aux redevables de l’ISF de bénéficier d’une réduction de 50 % du montant investi, plafonnée à 18 000 € par foyer fiscal.

Enfin, le Mandat Hôtelier ISF 2015 propose de participer à la rénovation et à la croissance de l’activité de 3 à 6 hôtels. Fort du succès des investissements réalisés auprès des sociétés qui ont acquis et rénové déjà 6 hôtels à travers les mandats ISF 2013 et 2014, Turenne Hôtellerie renouvelle l’opération en 2015. La société choisit d’investir dans des PME qui détiendront les fonds de commerce avec ou non les murs d’hôtels bénéficiant d’une localisation « premium » dans de grandes villes françaises. Ces hôtels, de grandes marques internationales comme Novotel ou Mercure, ont la spécificité d’être déjà rentables et capables de générer de la croissance, tout en ayant fait preuve d’une bonne capacité de résistance à la crise. Le Mandat Hôtelier ISF 2015 ouvre droit à une réduction d’ISF de 50 % plafonnée à 45 000 € par foyer fiscal.

Il est rappelé que ces véhicules, investis dans des PME, présentent un risque de liquidité et de perte en capital.