Meeschaert lance une nouvelle offre d’investissement dans les actifs non cotés

Meeschaert permet de financer les PME françaises en offrant une sélection d’opportunités d’investissement dans le cadre d’une défiscalisation ISF.

Cette nouvelle offre de mandat de gestion lancée par Meeschaert Private Equity, le pôle d’investissement spécialisé dans les actifs non cotés du groupe Meeschaert, vient compléter le champ d’intervention du groupe sur le segment du capital développement en permettant aux investisseurs privés assujettis à l’ISF d’investir dans les PME en participant à des augmentations de capital comprises entre 500 000 euros et 2,5 millions d’euros.

Le Cercle Meeschaert se caractérise par sa méthode de sélection reposant sur plusieurs critères déterminants. Ainsi, parmi les sociétés respectant les critères d’investissement responsable du groupe (filtre sectoriel), seules seront éligibles les entreprises de plus de 3 ans, dont le chiffre d’affaires est compris entre 1 et 50 millions d’euros avec un historique de rentabilité avéré, poursuivant un projet de développement organique ou de croissance externe.

S’appuyant sur l’expertise, les méthodes de travail et l’expérience des équipes de Private Equity du groupe Meeschaert en matière d’investissement en capital et de conseil aux PME, l’équipe de Meeschaert Capital Développement est composée de 8 personnes dédiées à l’investissement et à la distribution. Le comité d’investissement, constitué de Hervé Fonta, Geoffroy de Chézelles et Damien Delvaux, accompagnera l’équipe de gestion dans la sélection et le développement des sociétés.

Afin de maintenir un niveau de sélectivité dans le cadre des contraintes d’éligibilité fiscale et de performances de ce type d’investissements, le nombre d’opérations pour chaque campagne sera volontairement limité.

« Le Cercle Meeschaert s’inscrit dans la démarche souhaitée par le groupe de décliner les valeurs et les critères d’investissement responsable dans ses activités de gestion, et ce également pour les actifs non cotés », conclut Cédric Meeschaert.