Actualité des sociétés

ETF : Invesco présente les avantages de ses nouveaux fonds Chine

chinemarche

Pour répondre aux attentes des investisseurs qui souhaitent s’exposer à la Chine, Invesco élargit son offre en lançant deux ETF, Invesco S&P China A 300 Swap UCITS et Invesco S&P China A MidCap 500 Swap UCITS.

 

 

L’offre de fonds indiciels cotés d’Invesco s’enrichit de deux nouveaux supports d’investissement, Invesco China S&P China A 300 Swap UCITS et Invesco S&P China A MidCap 500 Swap UCITS. Le premier est axé sur les plus grandes entreprises et le second sur les moyennes capitalisations. Ils offrent les avantages structurels potentiels apportés par le modèle de réplication synthétique d’Invesco., l’un sur les 300 plus grandes valeurs du marché actions A, l’autre sur les 500 valeurs suivantes.

Les indices sous-jacents regroupent exclusivement des actions de sociétés onshore, constituées en Chine continentale, et négociées en renminbi sur les Bourses de Shanghai et de Shenzhen. Ils excluent les sociétés qui figurent sur la liste des sanctions de l’Office of Foreign Assets Control américain, ce qui n’est pas le cas de tous les indices comparables.

Plus de précision dans l’exposition

Chaque ETF cherche à atteindre son objectif d’investissement en détenant un portefeuille d’actions (parfois hors de l’indice) et en effectuant des contrats de swap avec une ou plusieurs banques d’investissement, afin d’aligner la performance du fonds sur celle de l’indice de référence. Autrement dit, la performance des titres en portefeuille est échangée contre celle de l’indice de référence.

A noter qu’Invesco utilise ce modèle depuis 2009 pour suivre une série de grands indices (comme le S&P 500 via ce qui est aujourd’hui l’ETF le plus important répliqué synthétiquement en Europe) et gère plus de 36 Md$ d’actifs au travers de sa plateforme ETF basée sur les swaps. Selon le gestionnaire, ce modèle permet de suivre de plus près et de manière plus cohérente le rendement de l’indice qu’une approche physique traditionnelle. Dans l’univers des actions chinoises de catégorie A, il peut même délivrer une surperformance par rapport à l’indice de référence. Les frais annuels sont de 0,35 %.

« La Chine, fait observer Gary Buxton, responsable des ETF et des stratégies indexées pour la région EMEA chez Invesco, possède déjà le deuxième plus grand marché actions au monde, et il est de plus en plus diversifié. Nos ETF visent à offrir aux investisseurs la possibilité d’être plus précis dans leur exposition. Par exemple, s’ils souhaitent se concentrer sur les entreprises portées par la consommation intérieure, ils les trouveront plus probablement dans l’espace des moyennes capitalisations, alors que les grandes entreprises ont tendance à offrir une exposition plus internationale. »

ML