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Le sommaire du mois - Octobre 2013

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L'Edito du mois - Octobre 2013

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L'Edito de Gilles Petit

Rédacteur en chef de Gestion de Fortune
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On connaissait déjà la pause café, la pause cigarette ou encore la pause méridienne, voici que nous découvrons la « pause fiscale ». Le problème avec cette dernière c’est que l’on n’y comprend pas grand chose, pour ne pas dire rien du tout. Et c’est bien là que le bât blesse. Le Président de la République l’annonce et ses ministres la déclinent au travers de déclarations si hasardeuses que l’on se prend à douter. Alors la pause ? C’est 2014 ou 2015 ?
Ni l’un, ni l’autre mon capitaine ! Comme l’a expliqué le ministre de l’économie, la pause fiscale c’est une sorte de processus dynamique. Je vous vois déjà sourire et j’avoue que je fais de même en écrivant ces lignes. Un « processus dynamique » que Marcel Pagnol aurait certainement pu faire figurer dans les dialogues de sa trilogie marseillaise ou que l’on imagine volontiers dans un film de Michel Audiard. Un « processus dynamique » donc qui devrait profiter aux entreprises dès l’année prochaine et qui laissera les ménages sur le bord de la route avec pour compagnons la hausse de la TVA, la baisse du quotient familial et la suppression de certaines niches fiscales.
Monsieur le Président, le moment serait peut-être venu de changer de lunettes et d’inciter les représentants de votre majorité à se pencher sérieusement sur le « rapport d’information sur l’optimisation fiscale des entreprises dans un contexte international » présenté le 10 juillet dernier à l’Assemblée Nationale. Celui-ci revient sur la nécessité de corriger les failles des législations nationales et des conventions bilatérales pour établir une véritable imposition des profits de toutes les entreprises multinationales. Souvenez-vous, à la fin de l’année dernière, les médias s’inquiétaient que des géants comme Google, Amazon, Starbucks et Facebook payent si peu d’impôts là où de plus petites sociétés se retrouvaient parfois étranglées. Au mois de mai dernier, cette liste non exhaustive s’est enrichie d’un nom pour le moins symbolique de notre époque : Apple. Comme le souligne si justement le rapport : « il semble en effet nécessaire de rappeler que l’optimisation (fiscale) se traduit en dernière analyse par un report de la charge fiscale sur les facteurs de production les moins mobiles (le travail) ou les contribuables moins bien outillés pour tirer profit des subtilités fiscales (les très petites et les petites et moyennes entreprises – TPE/PME). Poussée à l’extrême, elle contrevient au principe d’égalité devant l’impôt consacré par l’article 13 de la Déclaration des droits de l’homme et du citoyen de 1789, qui commande que la charge fiscale soit répartie en fonction des facultés contributives de chacun. »
On ne saurait mieux dire…
Bonne lecture !

Gilles Petit

 

Le sommaire du mois - Septembre 2013

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L'Edito du mois - Septembre 2013

 gpetit edito

L'Edito de Gilles Petit

Rédacteur en chef de Gestion de Fortune
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La pause estivale s’achève et c’est encore plein d’images en tête que chacune et chacun d’entre nous reprend ses occupations. Dans ce contexte économique toujours incertain, ceux qui ont voyagé hors de France n’ont certainement pas manqué de prendre le pouls de leur pays d’accueil. En visite chez nos voisins transalpins, j’ai pour ma part constaté que la situation là-bas était encore plus inquiétante que chez nous. Dans certaines régions, dont Rome fait partie, la carence en emplois est telle que c’est le jeu de l’offre et de la demande qui fixe la rémunération des médecins lorsqu’ils font des remplacements. Suivant la ville, le salaire versé peut donc aller du simple au double. Quant aux usines, elles continuent de fermer entrainant à leur suite des mouvements migratoires du sud vers le nord du pays. Malgré cela, une certaine forme d’esprit de famille subsiste chez nos voisins, lequel permet de subsister en attendant que l’orage passe. Et puis, certains commerçants ingénieux ont décidé de ne rien gâcher et vendent désormais le pain de la veille à moitié prix. Autant dire que le retour en France fut des plus rudes. Dans notre si beau pays règne comme un parfum de défaitisme que Nicolas Dufourcq, le directeur général de la Banque Publique d’Investissement (dont la mission est de soutenir les PME et les entreprises de taille intermédiaire), a fort bien résumé par ces quelques mots : « la mélancolie et l'autodénigrement coûtent à la France plus d'un point de PIB ». Un constat sans appel qui sonne comme un avertissement et doit inciter la France à se retrousser les manches plutôt que de rêver à sa situation en 2025. Pour l’y aider, j’aimerais citer en guise de bonne résolution de rentrée un passage du texte de Mitch Albom, journaliste au Detroit Free Press. Il suffit d’y remplacer le mot « Detroit » par « France » : « Les piliers de Detroit se sont peut-être effondrés sous le poids des décennies mais nous, ses habitants, sommes toujours debout. Nous continuons à nous lever le matin, à aller au travail, à embrasser nos enfants, à croire que demain sera meilleur. Nous continuons à dire que Detroit est chez nous. Avec fierté. Oui, nous sommes ruinés. Mais nous ne sommes pas brisés. Et si vous nous connaissez un tant soit peu, vous savez une chose : nous ne bougerons pas d’ici. »

Bonne lecture !

Gilles Petit

 

Prises de bénéfices sur le portefeuille

Une partie des lignes Capgemini, Iliad et Société Générale sont soldées ce 16 août 2013. Nous nous séparons par ailleurs du tracker pris en couverture.

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L'Edito du mois - Juillet/Août 2013

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L'Edito de Gilles Petit

Rédacteur en chef de Gestion de Fortune
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Nous serons critiqués, sans aucun doute mais quelle meilleure preuve d’attention à notre égard dans un monde où tout le monde tend à la neutralité, au politiquement correct. Notre démarche n’a rien de voyeuriste, bien au contraire. Puisque l’heure est à la transparence, autant que celle-ci fonctionne à double sens.

Les ministres ont accepté de révéler l’étendue de leur patrimoine, à nous de leur dire en toute objectivité de quoi il retourne réellement. Après tout en effet, si au moment de la publication de ces déclarations, nos confrères journalistes ont commenté leur contenu, aucun d’entre eux ne s’est risqué à une véritable analyse. Pourtant, au même titre que la fameuse « veuve de Carpentras » dont les banquiers ont bâti la mythologie, nos ministres ont aussi besoin de conseils, désintéressés si possible. Qui, mieux que Gestion de Fortune, pouvait se livrer à cet exercice ?

Indépendant depuis 22 ans, notre magazine ne s’est jamais privé de délivrer des coups de gueule quand le besoin s’en faisait sentir et d’éviter l’amalgame dangereux entre rédactionnel et publicité. A l’heure où l’information apparaît plus que jamais comme un pouvoir sonnant et trébuchant, nous avons tenu à faire comme tous les professionnels de la gestion de patrimoine ou de fortune, « conseiller en notre âme et conscience ».

Bien qu’il ne soit ici question que des stocks constitués et pas des flux, le manque de stratégie patrimoniale de nos ministres est criant. A croire qu’après eux, ce sera le déluge ! Un comportement qui ne rassure guère à l’heure où l’on ne cesse d’entendre parler du montant abyssal de la dette nationale (1857,76 milliards d’euros soit 28 581 euros par habitant le 18 juin dernier). Puisque c’est en forgeant que l’on devient forgeron, nous invitons donc nos ministres à lire avec attention le grand dossier du mois. Outre leurs carences, ils y découvriront également qu’aucune situation n’est désespérée dès lors que l’on se donne les moyens de s’en extraire. Un exemple qui leur donnera, nous l’espérons, des idées pour leurs taches nationales. Comme l’a écrit le psychanalyste et écrivain Boris Cyrulnik : « tout organisme pour s’adapter doit innover, tenter une aventure hors de la norme, engendrer de l’anormalité afin de voir si ça marche, car vivre c’est prendre un risque ».


Bonne lecture !

Gilles Petit

 

Safran quitte notre portefeuille

En vue de passer un été serein, nous matérialisons la plus-value sur le titre et prenons un tracker en couverture.

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L'Edito du mois - juin 2013

 

L'Edito de Gilles Petit

Rédacteur en chef de Gestion de Fortune
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Au moment d’écrire ces lignes, les réseaux sociaux bruissent de faits divers sanglants impliquant des enfants, le plus souvent comme victimes mais aussi comme témoins. Lorsqu’une société en vient à engendrer de tels actes, ce n’est souvent pas bon signe. Le désespoir est-il si grand dans notre pays ? Au fur et à mesure que la crise économique s’amplifie, me revienne avec insistance ces quelques mots écrits par le Ministre de l’Armement, Winston-Spencer Churchill. Nous sommes en février 1918 et l’homme qui deviendra encore plus célèbre 22 ans plus tard visite le front près du saillant d’Ypres (Belgique). Il décrit à son épouse la chose suivante : « sur le chemin du retour, nous sommes passés près de l’asile d’aliénés, réduit en poussière par les gens normaux du dehors ! »

En est-on là ? D’un point de vue symbolique, peut-être bien après tout. Le déni dans lequel semble vivre certains dirigeants européens à de quoi laisser pantois. Et il n’y a guère que les banques centrales pour véritablement comprendre quels mécanismes pervers sont aujourd’hui à l’œuvre. Le problème c’est que loin de constituer une solution, leurs injections massives de liquidités permettent seulement de gagner du temps. Quand le dealer devient votre dernier espoir, la situation n’est pas désespérée mais presque…

Dans un tel contexte, on ne peut que saluer les efforts des chefs d’entreprise pour garder la tête hors de l’eau. Selon les premières estimations de l’Insee et de la Dares, 20 300 emplois salariés ont disparu dans notre pays au cours des trois premiers mois de cette année. Sur un an, la destruction porte sur 133 800 emplois. Si l’on ajoute à cela une instabilité fiscale récurrente au point d’en devenir maladive, on obtient le cocktail parfait pour inciter les dirigeants à l’expatriation. De ce point de vue, le dossier du mois sur la transmission d’entreprise est d’ailleurs emblématique. Si les entrepreneurs continuent de transmettre leur société, ils sont de plus en plus nombreux à envisager un départ à l’étranger. Non qu’ils n’aiment plus la France, bien au contraire. Le mal est plus profond. En réalité, ils sont persuadés que les hommes politiques ne sont pas capables de redresser les comptes publics et que tous les efforts réalisés le sont à fonds perdus. « La fin de l’espoir est le commencement de la mort » écrivait un certain Charles De Gaulle. Souhaitons juste qu’il nous reste encore assez de temps pour inverser la tendance…


Bonne lecture !

Gilles Petit

 

Le sommaire du mois - Juin 2013

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Le sommaire du mois - Mai 2013

sommaire n°237

L'Edito du mois - mai 2013

 

L'Edito de Gilles Petit

Rédacteur en chef de Gestion de Fortune
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Ex-ministre du Budget et désormais repenti notoire, Jérôme Cahuzac a évoqué “sa part d’ombre” pour justifier la “faute morale” d’avoir caché un compte bancaire en Suisse. Peut-être avait-il visionné la veille et à la suite La Guerre des Etoiles de George Lucas, où il est justement question du « côté obscur de la force », et Si Paris nous était conté de Sacha Guitry et que son esprit a fait une sorte d’amalgame. Pourquoi pas.
Dans son chef d’œuvre, le dramaturge français place ces mots dans la bouche du conseiller de Paris Pierre Brunel au moment où la garde le mène en sa cellule de la Bastille : « c’est d’une maladresse insigne comme le sont d’ailleurs les impôts qui nous accablent et nous attristent. Que demain le gouvernement nous demande de déclarer nos revenus. Que se passera-t-il ? Nous serons bien obligés de falsifier nos comptes. Et en conséquence, nous serons tous devenus des menteurs. Que dis-je des menteurs. Des voleurs ! »
Est-il besoin d’en dire plus. L’opprobre général vient confirmer la perte de repères de nos élites et surtout leur désacralisation. C’en est fini des grands hommes, place au gouvernant normal et à la publication de son patrimoine sous des formes parfois obscures. Et si au lieu du stock, nous nous préoccupions un peu des flux et de leur origine ? S’il faut en passer par-là, Messieurs les dirigeants, faites au moins œuvre utile, à défaut d’imprimer votre marque dans l’Histoire.
Heureusement pour moi, lorsque l’affaire Cazuhac a atteint son paroxysme, j’étais en tournée en Province pour rencontrer conseillers en gestion de patrimoine indépendants et chefs d’entreprise. Et le moins que l’on puisse dire, c’est que le contraste fut saisissant. Malgré des temps «économiques difficiles, quel enthousiasme et quelle passion j’ai rencontré chez ces professionnels. A tous ceux qui hurlent avec les loups et surtout à notre exécutif, je transmets donc ce message en provenance directe du terrain : l’élan économique n’est pas brisé dans nos régions, du moins pas encore. Mais par pitié, faites comme le gouvernement néerlandais qui, au vu de son histoire ne peut être taxé de laxiste, mettez un coup d’arrêt à la politique d’austérité et à cette trop forte pression fiscale. Et relisez Paulo Coelho pour qui « c’est une chose de penser que l’on est sur le bon chemin » et que « c’en est une autre de croire que ce chemin est le seul ». Un tel revirement aurait pour principale vertu de redorer votre blason et peut-être même de vous faire retrouver un peu d’aura. Vous n’en êtes pas tout à fait convaincus. Alors méditez bien cette phrase de JF Kennedy : « les problèmes du monde ne peuvent être résolus par des sceptiques ou des cyniques dont les horizons se limitent aux réalités évidentes. Nous avons besoin d’hommes capables d’imaginer ce qui n’a jamais existé. » Saisissez donc cette chance, le même plat ne repasse jamais deux fois ! ». 


Bonne lecture !

Gilles Petit

 

Tableau de bord

Logo Contrat Prudent Equilibré Dynamique Audace
Logo 1 Contrat 1 2.5% 1.5% 3% 5.5%
Logo 2 Contrat 2 8.9% 3% 5.5% 2.5%
Logo 3 Contrat 3 5.5% 2.5% 3% 5.5%
Logo 4 Contrat 4 5.5% 2.5% 3% 2.5%
Logo 5 Contrat 5 5.5% 2.5% 3% 5.5%

L'agenda des prochaines manifestations

Vous trouverez ci-dessous les prochains événements marquants de la profession :

Rencontres Epargne et Patrimoine  - 2 novembre 2015 à BordeauxLa MACSF et Gestion de Fortune vous invitent à venir échanger avec des experts au sujet de votre patrimoine le lundi 2 novembre 2015 à Bordeaux.
Globes de la Gestion - 3 novembre 2015 à ParisPour la quatrième année, Gestion de Fortune, en partenariat avec Quantalys, une société spécialisée dans la mesure des performances de fonds, organise les Globes de la Gestion. Cet événement réunit les acteurs incontournables de l'univers de la gestion d'actifs et récompense les gérants de fonds à travers treize catégories.
Soirée Afer  - 5 novembre 2015 à Chambery Les Soirées Afer sont l’occasion pour les adhérents de faire le point sur l’Association, ainsi que sur les évolutions juridiques et fi scales de l’assurance vie.

 

Le sommaire du mois - Avril 2013

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L'Edito du mois - Avril 2013

 

L'Edito de Gilles Petit

Rédacteur en chef de Gestion de Fortune
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Et si nous étions en train de vivre un véritable changement d'époque ? Je sais bien qu'avec des si, on pourrait « mettre Paris en bouteille », comme le dit le proverbe, mais tout de même. Les quelques signes annonciateurs se révèlent suffisamment troublants pour que l'on ait envie de reconstituer le puzzle. Le pape renonce à son poste, l'OCDE prépare un plan pour lutter contre l'optimisation fiscale des multinationales, les Etats-Unis relèvent d'un quart le salaire minimum et l'euro, oui l'euro, devient trop fort aux yeux des entreprises exportatrices du Vieux Continent.
En matière de placements financiers aussi, les temps semblent changer. « Placement préféré des Français », selon la formule consacrée jusque-là, l'assurance vie est subitement descendue de son piédestal en 2012 en enregistrant pour la première fois de son histoire une décollecte annuelle. Selon la Fédération Française des Sociétés d'Assurances, ce sont ainsi près de 3,4 milliards d'euros qui sont sortis de la précieuse enveloppe fiscale. Comme toute fin de lune de miel qui se respecte, ce retrait correspond à la disparition de certaines illusions chez les investisseurs particuliers. L'enquête 2013 du Cercle des Epargnants menée avec l'institut CSA est de ce point de vue des plus éclairantes. Aujourd'hui, plus d'une personne sur quatre ne croit plus au « placement idéal ». Mieux, l'immobilier considéré comme le meilleur placement pour son épargne perd son statut de leader au profit du livret A !
« Une illusion de moins, c'est une vérité en plus », écrivait Alexandre Dumas fils. L'heure n'est donc déjà plus au constat mais à l'action, ce qu'ont très bien compris les assureurs interrogés dans notre dossier du mois. Le fonds en euros devient de moins en moins attractif ? Qu'à cela ne tienne, passons au fonds en euros immobilier ? Ce dernier n'est pas assez liquide ? Eh bien, lançons des produits à l'allocation d'actifs bien plus flexible.
On l'aura compris, dans l'oeil du cyclone, l'assurance vie est encore bien loin d'avoir dit son dernier mot. D'ailleurs, si les particuliers s'interrogent sur son compte, le gouvernement et certains assureurs la verraient bien offrir un utile relais de croissance, à l'heure où justement notre croissance économique est au point mort. Pour l'heure, les idées pour utiliser une partie de la précieuse manne (1 391 milliards d'encours sous gestion) portent sur le financement de la construction de nouveaux logements et l'investissement dans les PME. Reste maintenant à savoir si cela suffira. Comme le disait Sir Winston Churchill, « il n'y a rien de négatif au changement, si c'est dans la bonne direction ! »


Bonne lecture !

Gilles Petit

L'Edito de Février 2013

Quand sait-on vraiment que l'on a franchi la ligne jaune ? Les conducteurs qui en ont fait l'expérience vous répondront : « Au moment où il est trop tard ! »

 

 

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L'Edito de Janvier 2013

Si vous lisez ces quelques lignes, c'est que la fin du monde prévue, selon certains interprètes du calendrier Maya, pour le 21 décembre dernier n'a pas eu lieu. Faut-il pour autant s'en réjouir ?

 

 

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L'Edito de Décembre 2012

Dans la nuit du 7 au 8 novembre dernier, j'ai fait un rêve ou non plutôt un cauchemar, lequel m'a poussé à scruter les réseaux sociaux au beau milieu de la nuit, au moment même où la première démocratie du monde votait pour élire son nouveau président.

 

 

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L'Edito de Novembre 2012

En cette période d'instabilité fiscale et de retour de l'automne, la tendance naturelle pourrait logiquement être celle du repli sur soi.

 

 

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